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Affichage des articles du 2018

C'est bientôt Noël...

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Il est né le divin enfant.... Pour ceux qui connaissent, Thotta et Fellana sont les heureux parents d'un troisième garçon : le petit Mikaël. Mais Thotta n'a pas l'exclusivité des naissances à Fianar : notre chatte a eu 6 petits chatons : des jouets rêvés pour Iseult, même pas besoin de Père-Noël. Chez nous pas besoin de guirlandes,.... c'est le soleil qui prend des allures de boule de Noël multicolore : magnifique halo solaire aujourd'hui dans le ciel de Fianarantsoa (photo prise sans trucage). Pour tous les premiers de la classe qui nous lisent, un halo solaire est un phénomène optique similaire à l'arc-en-ciel causé par des cristaux de glace en suspension dans les hautes couches de l'atmosphère. Espérons que cet "oeil du ciel borgne" veille sur nous à l'heure de notre départ à la Réunion. Grosso modo,  nous quittons Madagascar qui vient de voter et qui serre les fesses en attendant les résultats qui probablement seront litigie

Et toc !

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A tous les médisants qui croient sans doute que l'on ne sait plus cuisiner...

Run and bike (par Johan)

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En ces temps incertains où les gilets jaunes mettent à feu et à sang la France pour la hausse du prix du carburant (entre autres), il vaut mieux initier nos enfants à se déplacer par leurs propres moyens.... Ce matin, Mika et moi sommes partis avec Eliot au lac hôtel de Sambavy à une vingtaine de kilomètres de Fianar. La première montée est rude... ... mais le loupiot s'en sort bien Après le premier col, Eliot nous distance dans les descentes. Quinze kilomètres plus tard, nous arrivons sur les rives de la Matsiatra qu'il faudra traverser en pirogue. On attend le piroguier. Une pause bienvenue dans la pirogue. Allez courage ! Il reste six kilomètres jusqu'au Lac Hôtel. Après l'effort, le réconfort. Bravo Eliot ! Coralie et Iseult nous on rejoints en mobylette. Des collègues venus passé le week-end à l'hôtel nous ramèneront bien gentiment à Fianar en voiture... ça ne sera pas facile de vivre sans pétrole... parfois la dure réalité nous

Cross 2018

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Préavis à tous les réfractaires à la compétition, les épidermico-sensibles du dépassement physique de soi, les étanches à la beauté du sport, cet article spécial cross René Cassin 2018 n'est pas pour vous. Néanmoins, si vous le lisez quand même, personne ne le saura. Parmi nos élèves, certains l'attendaient comme la consécration du trimestre, d'autres avec l'appréhension du mou du genou, c'est comme partout, le sport ne fait pas que des émules. Aussi, nous nous sentons plutôt privilégiés de voir nos deux enfants arpenter le bitume sans broncher, sans bronchiter non plus, avec envie et sérieux, dans le but d'écrabouiller tous les autr... euh, pardon, je m'égare, dans le but de prendre part à cette belle aventure, bien entendu. La marée bleue et violette s'apprête à envahir la ville. Les enfants arborent avec fierté leurs couleurs, avant de remonter, comme un seul homme, la rue du marché qui mène à la place de la mairie (le quartier de notre mais

Vacances de Toussaint à Nosy Be : La vie de Robinson ou les limbes du Canal du Mozambique (article écrit par Mamie Denise)

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Une année et demie s’est écoulée depuis notre première escapade à Madagascar. Il nous reste cependant tant à découvrir que ce séjour s’avère tout aussi riche et que le temps file trop vite ! L’île de Nosy Be au nord ouest de la Grande Terre est le haut lieu du tourisme. On y trouve des hôtels et restaurants à profusion, de belles plages et donc des vasahas en villégiature. Profitant de notre avantage de retraités, nous avons goûté au farniente et à la bonne cuisine du bord de mer pendant 3 jours avant l’arrivée de la horde familiale. Et le lundi matin aux aurores (on se lève très tôt à Mada) c’est le départ pour une croisière de 4 jours en boutre. Le film de Jojo donne une idée très vivante de ce que nous avons vécu, mais il a oublié quelques aspects de notre vie de Robinson qui ne manquent pas d’exotisme. Par exemple, le problème qui se pose à tout un chacun plusieurs fois par jour…les toilettes ! Pas le choix, il faut bien y passer, suspendu à l’extérieur de