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Affichage des articles du janvier, 2018

Hautes terres, toujours en haute estime

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Une déferlante de réclamations (en fait, juste une, pour être honnête) auront eu raison du blog bonnegerard. Notre récent silence n'est du qu' à un manque cruel de consistance quotidienne : Ca devrait être l'été, ça ne l'est pas, et on se les gèlerait presque, On fait du feu et on profite de nos tout nouveaux jeux de société, on devrait occuper le devant de la scène avec nos cyclones, mais France Inter n'a de cesse de ressasser vos inondations et autres vigilances rouges... Malgré tout, le blog se creuse pour vous et sort de son chapeau une jolie marche dominicale autour de Fianarantsoa... Vous l'avez cherché. J'y comprends rien à ce riz, il peut pousser en toute saison, y a vraiment pu rien qui se respecte.  Des ados, les mêmes que les vôtres : sympas, serviables, enthousiastes pour une rando...  Des profs, les mêmes que les vôtres (mais cet échantillon-là est une espèce qui a particulièrement le goût du voyage roots)

Tribulations sur le canal des Pangalanes

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Pour les vacances de Noël, nos amis Alsaciens "les Boegs" sont venus nous rendre une petite visite. Après quelques jours d'acclimatation à Fianarantsoa, nous avions prévu de rejoindre Manakara avec la "machine" (le train) puis remonter le canal des Pangalanes en pirogue. Meuh non ! ça c'est pas la pirogue ! Tsy misy machine : Le train est en panne depuis jeudi, la gare est déserte. Plan B : Un mini bus nous acheminera à Manakara. Une surchauffe le temps d'une pause .... ... au milieu des mimosas. Richard ne perd pas de temps (il est pas là pour enfiler des perles) : direction la plage... ... où le club Mickey du coin organise une compèt' de passe coco. Le lendemain, grande découverte pour nous, qui croyions avoir tout vu et tout fait : Le "taxi moto" ! En route pour le "trou du commissaire" où nous pourrons nous baigner sans risques... ... Dans une bande de quatre mètres de large à partir du b

L'air Boeg (ou des bugs sous d'autres latitudes) par Riri

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Blog à part… ou le mot des Boeg. Tout… ils nous auront tout fait pour qu’il déraille complètement ce séjour à Madagascar : saboter l’unique et dernière voie ferrée de l’île, sucrer l’injection du taxi-brousse, serrer le joint de culasse d’un moto-taxi et, pour finir, ils nous font le coup de l’ouragan ! Dans les arbres, sur l’eau ou sur les visages, c’est selon.... Au niveau des nourritures terrestres, il faut bien reconnaître que les locaux sont également bien pourvus (même si le niveau de leurs ressources les cantonne -sans vilain jeu de mots- au riz).   Ici, nous avons le plaisir et l'avantage de vous offrir un interlude climatique.... pour ceux qui - comme nous - n'ont qu'une connaissance fort vague des ouragans ce qui suit pourra peut être les intéresser. L'ouragan, si justement chanté par la gentry monégasque, est un animal à l'air doux mais qui est accompagné de vents et de pluies violents.  Normalement leur saison commence