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Après les deux entraînements avec Coralie en VVT j'étais fin prêt ce week-end pour une grande sortie avec un collègue malgache et son copain. Quelques photos de notre entrainement jeudi dernier... Mon coach du jeudi matin En fin de saison sèche, seuls les fonds de vallée sont verts...  On commence d'ailleurs à subir au quotidien les conséquences du manque d'eau général : les douches du soir parfois au goutte à goutte nous prennent trois plombes... Je t'avais bien dit qu'il fallait acheter une canne à selfy ! Samedi matin en attendant mon collègue au point de rendez-vous je n'ai pas pu m'empêcher de prendre en photo ces forçats de la route qui, à longueur de journée, approvisionnent le marché sur les hauteurs de Fianar. Les pousseurs de varamba en plein effort pour des courses à 5000 Ar (1,5 euros pour cinq) Après l'effort le réconfort de la descente, à condition de ne pas trop penser à l'état des freins. Durant la b

En voilà un mot utile, quand on fait partie de la famille BONNE. Tsanga tsangana signifie "on se promène", quel que soit le mode de déplacement. Iseult a tenu à prendre son nouveau sac à dos. ça a duré 5 min, on se l'est traîné pendant le reste de la journée, ça vous étonne ?  Tsanga tsangana ? C'est ce que les malgaches nous demandent lorsque nous passons à proximité de leur maison, alors qu'ils trient le riz en enlevant les cailloux, qu'ils discutent, qu'ils vendent des produits alimentaires (beignets de banane, légumes, canne à sucre, préparations aux spaghettis...), ou encore sont assis tout simplement et observent la journée se dérouler. C'est d'ailleurs plutôt bon signe quand la conversation commence comme ça, ça change du "Wasaha !! Wasaha !! Wasaha !! Wasaha !! ) le plus souvent scandé 10 fois de suite (super fort, sinon c'est pas drôle) par les enfants d'environ 3 à 10 ans et qui sont peu habitués à voir des blancs

Cette semaine à la rubrique des conseils des lectrices, une petite recette toute simple pour réussir sa rentrée (dont chacun sait que c'est un met particulièrement délicat) : Il suffit en fait de laisser reposer la préparation pendant une bonne année. (Alors, je vous arrête tout de suite ! Les deux mois de vacances qui pourraient servir à ça en temps normal, ça ne compte pas, c'est bien trop court pour laisser reposer une préparation aussi pétrie). Une bonne année de repos, donc... ...et vous voilà apte à retrouver le chemin de l'école. Les conditions sont douces : deux classes de 6ème à 18 et 17 élèves. Cela correspond presque aux effectifs des CP voulus par ce bon (pas vieux) Manu. Zont intérêt de savoir lire à la fin de l'année, ceux-là ! Ma salle de classe bien arrosée de soleil se tient dans un coin un peu reculé du bahut d'où on n'entend pas les discussions raffinées des collégiens, je devrais tenir deux ans. Sans blaguer, c'est avec un