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Affichage des articles du mars, 2018

Snorkeling à Madagascar

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Voilà le danger de l'usage des mots clés sur internet.  Snorkeling Madagascar, ça donne ça : Ces personnages du célèbre dessin animé nous ont suffisamment été associés lors de notre départ, en montages photos et autres comparaisons douteuses (avec moi toujours dans le rôle de l'hippopotame, alors que je n'ai pas spécialement un gros nez) pour que je me permette aujourd'hui de les utiliser à mon tour.  Si Alex, Gloria, Marty et Melman avaient un peu mis la tête sous l'eau, voilà ce qu'ils auraient pu croiser... Des bancs de poissons chatoyants rasant les coraux sans le moindre regard pour nous... Des poissons-fenouil, qui ne s'appellent certainement pas comme ça, mais qui, reconnaissez-le, évoquent tellement l'aspect de ce légume que ça leur va bien (et puis, poisson-clown ou poisson-fenouil, on n'est plus à ça près)...  Ce poisson ballon pintade (de mieux en mieux pour ce qui est des noms, sauf que là c'est vrai)

Eliot : douzième printemps à Madagascar

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Notre grand bébé a fêté ses 12 ans aujourd'hui... Comme l'année dernière, nous avons choisi la plus grande piscine de Fianar pour inviter ses copains (oui bon d'accord, ses copines). C'est peut-être l'une des dernières fois où nous pourrons profiter de l'endroit, l'été se sauve sur la pointe des pieds, la fraîcheur occupe immédiatement l'espace dès que le soleil nous fait défaut. Peut-être est-ce pour être solidaire avec nos lecteurs français qui aimeraient bien ranger leurs skis et sortir les vélos ? Iseult et sa copine Aina ont également pu profiter de l'occasion pour passer (encore) une journée ensemble et rivaliser d'originalité avec leurs chaussures qu'elles s'envient mutuellement (des claquettes Nike rouges en moumoute pour l'une et des talons de flamenco rouges à pois noirs pour l'autre). Notre Eliot, lui, n'a pas besoin d'attraits vestimentaires particuliers, il s'entoure de gonzesses et l

Anakao

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Son seul nom fait déjà voyager... Voilà un moment qu'on nous en parle, qu'on nous vante le lieu, qu'on nous le dépeint avec plus ou moins d'objectivité, mais Bonne-Gérard n'est pas nature à se contenter de chimères, il fait ses valises et va 'oir ! Qu'est-ce qu'on attend, au juste ? Que nos bagages soient amenés sur le bateau, que la navette (Anakao express) soit prête à faire monter les passagers, avec un nom comme ça, ça ne devrait pas traîner. Thotta, le sourire en coin, sait bien, lui, que nos bagages seront acheminés sur la navette (ancrée à 500 m de l'embarcadère) par un mode de transport auquel on ne s'attend pas. Ce sont donc des charrettes à zébus qui acheminent les bagages et leurs propriétaires aux différentes navettes. La nôtre est celle au loin, sur la photo. Autant vous dire que les zébus ont terminé leur travail le cou à peine hors de l'eau. Rien n'est trop ardu pour le zébu !    Le site sur lequel on

l'eau à la bouche

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Les no man's land que nous fréquentons parfois en vacances ne disposent pas d'une connexion internet suffisante ou assez bon marché pour nous permettre de vous poster des articles et des articles et des articles. Alors, juste en guise de mise en bouche avant notre retour, voici quelques jolies photos de début de séjour.  On occupe un bungalow en bord de plage à 15 minutes à pied d'Anakao, un village au sud de Tulear. On est là pour 5 jours, avec notre copine Séverine qui a laissé ses enfants à leur papa à Fianarantsoa. A marée basse, le spectacle est tout aussi plaisant, les bancs de sable offrent un doux dégradé de blancs et de beiges, et les taches d'algues apportent une ponctuation verte qu'il est chouette d'admirer de loin. De près, ben... ça gratte ! Sortie pirogue, on commence à être habitués, mais ça n'enlève rien au charme de la sortie. On vous racontera au prochain article ce qu'on est allés faire. Suivez bien nos publications,

Vous avez de la pâte ? Vous avez du sucre ?

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Premier samedi des vacances, jour d'une grasse mat' bien méritée, où tu vas pouvoir buller sur ton canapé, traîner en pyj jusqu'à 10h, lire des histoires à tes enfants, cuisiner... C'est précisément le jour qu'a choisi l'office du tourisme fianarois pour organiser une sortie-visite culturelle, à une bonne heure et demi de la ville :  Rendez-vous pour le départ à sept heures, déplacement en taxi-brousse à cinq sur une banquette de quatre personnes, la musique à fond (et là je vous garantis c'était pas du Simon & Garfunkel), en un mot, tous les ingrédients pour récupérer de sept semaines de lourd labeur... Heureusement, les paysages sont somptueux, la nuit se termine par une sieste matinale entrecoupée de vues comme celles-ci, on commence presque à se dire qu'on a bien fait de s'inscrire (pourtant, au lever le matin, c'était pas gagné comme point de vue). Le taxi brousse nous dépose dans un endroit surprenant, qui nous rappelle