Noël au paradis

Bien décidés à profiter de ce qui nous est offert ici à Diego Suarez, même si les familles nous manquent en ces moments de fêtes, nous chargeons l'emploi du temps du séjour comme une mule.
Nous logeons dans une maison plutôt familiale, où les espaces communs se partagent, un peu comme au chalet Beurre...

...avec une terrasse presque la même...


...des sanitaires tout équipés...


...un mode de transport adapté aux contraintes locales...


Juste une photo preuve que j'ai pas piqué des photos sur internet

ça pourrait suffire, mais les jolis sites sont tellement nombreux qu'il serait bien bête de ne pas les découvrir. Et nous avons placé involontairement la barre très très haute dès notre première excursion, le 24 décembre, pour nous rendre à la mer d’Émeraude.

Voici dons notre crèche à nous en cette veille du jour de Noël, nos deux petits Jésus bien calés entre l'âne et le boeuf (je vous laisse décider de l'attribution des rôles, gardez pour vous vos suggestions SVP). 


Voici un premier aperçu du pourquoi du nom de cette mer. Plus on s'approche, plus l'eau s'éclaircit, plus les algues se font rares, plus le sable du fond marin blanchit et plus nos peaux rougissent.  


On commence par la distinguer au loin, cette couleur émeraude,


 ça parait petit, lointain, inatteignable; et puis on y entre, 
comme Alice au pays des merveilles.
C'est magique, c'est notre "Noël Bleu" à nous.

Ceux qui ont inventé photoshop ne sont jamais venus ici.

On est mieux ici qu'en prison.
La suite du programme est intéressante. 
Accostage sur une île paradisiaque,


les personnes férues de pêche (pécher la veille de Noël, le comble quand même) repartent en bateau pour assurer la pitance du repas de midi pendant que les autres profitent 

de la plage, 


des masseuses qui proposent leurs services aux Robinson d'un jour, 

Vous avez vraiment cru que j'allais me montrer en train de me faire masser ?
du sable blanc, 


du paysage, 


de la mer à 30 degrés... (J'arrête ou je continue ?)


Ici, le repas du midi rapporté par les pêcheurs 
(dont Johan et Eliot, mais c'est une chance qu'on n'ait pas compté sur eux pour bouffer...)


La petite case anti-UV pour le pique-nique  
(la photo n'est pas bonne, 
mais l'on peut y voir
le bonheur en personne...)


Et pour finir, retour à Diego (2h de bateau), avec quelques scènes sympas, comme un aileron de dauphin (vu uniquement par Eliot et moi juste au moment où on était en train de demander s'il arrivait d'en voir), une raie manta (vue par un autre passager mais apparemment elle valait son pesant d'or), et d'autres embarcations plus ou moins évoluées.


Eliot et Iseult en train de regarder une baleine qui fait un saut près du bateau 
(non ? Ah bon, d'accord...)
Petite parenthèse, vous pouvez normalement maintenant écouter Iseult chanter en malgache dans l'article précédent avec un titre en malgache dont je ne me rappelle plus. 


Iseult a quand même noté que j'avais choisi le bon leggings pour une telle sortie : il était assorti à la mer !


Iseult sans chapeau : il vient de s'envoler dans la mer... 


Et pourquoi pas la casquette NY, plutôt ? 
The answer, my friend, is blowing in the wind...

Commentaires

  1. Ben nous, pareil : grippe. Qui a dit qu'il fallait au bout du monde pour vivre des aventures passionnantes ?
    Bonnes fêtes à vous, on vous embrasse.

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